lundi 6 septembre 2021

Va pensiero!

Bon lundi, c'est la fête du Travail au Québec et je suis dans un drôle de mode de réflexion. Un changement de paradigme transversal de ce qui est à ce que je ne veux plus. Les changements passent bien plus par ce que nous ne voulons plus que par ce que nous voulons, car savons-nous vraiment ce que nous voulons?

La vie actuelle nous interpelle à une révision complète de nos valeurs, de nos croyances, de nos mensonges que nous avons crus comme des vérités. C'est le grand réveil, comme certains le disent, mais pas comme le pensent certains mondialistes. Le réveil à ce qui fait sens pour nous.

Pour ma part, mon approche est assez surprenante pour moi. Je remets en question toute ma philosophie de vie en le regardant par son opposé. C'est fascinant, il tonne, il grêle et c'est l'orage diluvien présentement. Quelle magnifique ambiance pour écrire ce qui est en tempête dans mon âme et dedans ma tête, dans tout mon être.

Et si tout était faux, dans ma conception de la vie. Faites cet exercice avec moi et nous verrons.
Ceux qui me lisent depuis plusieurs années connaissent ma philosophie de vie que j'acronymise comme le BRAS de la vie. Bonheur, Richesse, Amour et Santé.

Pour mon BONHEUR

Je rayonne de joie, d'humour et de passion.
J'attire à moi les réponses à mes demandes.
Je suis orienté et guidé par ma mission de vie en tout temps.
Je priorise l'harmonie dans ma vie à chaque instant.
Je suis heureux!

Où en suis-je sur cette valeur qu'est le bonheur? Sur une échelle de 10, 10 étant le parfait bonheur, je me situe où? Je n'aurais pas la note de passage. Je regarde l'extérieur et j'y vois des humains qui souffrent, qui se débattent pour survivre au lieu de simplement vivre heureux. Il y a quelques exceptions certes, cependant la morosité est grandissante et elle est très perceptible jour après jour.

Devrais-je sombrer dans le cynisme*? C'est une piste intéressante que nous offrent les dirigeants de la planète plus que jamais actuellement.
*Cynique: Adepte de l’école philosophique grecque de l’Antiquité qui professait le retour à la nature et le mépris des conventions sociales et de la morale établie. Diogène fut le plus célèbre des cyniques. 

En ce moment, j'en vois plusieurs qui sont des adeptes de cette philosophie et qui sont exécrables notamment dans les médias traditionnels, je ne les nommerai pas, mais ils sont très faciles à détecter. Ils gagnent leur vie à nous faire suer pour rester poli. Comme Michel Chartrand dirait: "ce sont des criss de baveux"!

C'est fantastique de revisiter ses valeurs pour se rendre compte sur quoi elles se basent.

Est-ce que le bonheur est encore une valeur essentielle pour moi, je n'en suis plus certain à 100%.

Je me rappelle la célèbre phrase de Martin Gray : "Survis à tout prix" qu'il répétait malgré ses épreuves tout au long de sa vie.

Nous sommes en guerre, pas contre les autres, mais contre nos propres paradigmes. Le brassage de l'intérieur est moins apparent, mais tout aussi tumultueux sinon plus. Les conversions partent souvent de là.

Je ne suis pas un révolutionnaire dans l'âme. Je dénonce les incohérences et je suis servi à souhait à ce chapitre actuellement. Je prône plutôt une maxime latine : "in medio stat virtus" qui suggère de rester raisonnable, d'éviter les extrêmes en actes comme en réflexion.

Je ne suis pas dupe et je vois très bien ce qui se passe et je me dis que ça va bientôt péter de tout bord tout côté. J'observe la colère grandissante du monde qui remplace la passivité et la soumission des premiers mois de cette crise politique qui n'a rien de sanitaire.

Pour ma RICHESSE

J'accepte que l'abondance me coure après et je lui permets de me rattraper.
Je fais de l'argent comme de l'eau et je l'investis sagement.
Je m'enrichis sur tous les plans.
Je bénis ceux qui ont plus que moi!
J'accorde du temps de qualité dans des relations authentiques et nourrissantes.
Je suis riche!

Quand je vois l'enrichissement à outrance de certains psychopathes milliardaires de ce monde et l'appauvrissement de la classe moyenne qui devient encore plus précaire jour après jour, je me dis : "est-ce que je veux vraiment devenir riche?" Est-ce un modèle qui tient la route, qui a encore sa place dans ma conception de la vie?

Je crois à l'abondance, car la nier serait refuser de voir les bienfaits de la nature dans toute sa splendeur. Nous sommes sur une planète où se trouve suffisamment de nourriture pour tous et pourtant la famine fait plus de morts chaque jour qu'un microbe annuellement. Pourtant les oligarques s'en mettent plein les poches en laissant crever leurs semblables sans une once de remords. C'est dégoûtant et abject.

Je suis riche des valeurs de respect d'autrui et de promouvoir la santé sous toutes ses formes, contrairement aux gouvernements qui sont dans un jeu de pouvoir malsain contre tous.

Bref, ce n'est pas évident de prôner la richesse quand on voit les abus de toute part. 

La véritable richesse, oserais-je dire la seule, est dans le don et dans rien d'autre. Si tu ne donnes pas et que tu ne fais qu'accumuler, alors tu es un très grand pauvre et j'ai pitié de toi.

Pour mon AMOUR

J'aime les gens et les gens m'aiment.
Je donne généreusement et la vie me le rend au centuple.
Je crée des liens avec chaque personne que je rencontre.
Je suis connecté à la source universelle en permanence.
Je suis amour!

Et si la clé à toute cette folie était l'amour. La chanson "Te voglio bene assai" qui raconte la fin de vie de Caruso composée par Lucio Dalla et popularisée par Luciano Pavarotti est sans doute une piste intéressante. Cette capacité d'aimance à la portée de tous peut être le salut de l'humanité contre les ombres des mondialistes.

Cette valeur est mise à mal ces temps-ci. Nous voyons des gens subir les manipulations, pressions, répressions, culpabilisations, chantages, menaces à leur intégrité physique, à leurs moyens de subsistance, à leur dignité. De quoi faire la guerre contre tout cela, ne pourrait-on pas penser?

Aimer plus que tout demeure encore la solution, du moins je le ressens au fond de moi.

Pour ma SANTÉ

Je suis vivant, heureux et alerte.
Je mange sainement régulièrement.
Je dors en quantité suffisante et en qualité réparatrice.
Je donne à mon corps ce qu'il y a de meilleur.
Je respire la santé en continu.
Mes pensées sont saines et cohérentes.
Je suis en santé!
 
Plus personne n'est en santé, à présent nous sommes tous des asymptomatiques, c'est plus payant au scrabble mais hormis cela, ça ne vaut pas cher la poche, comme disait mon père. La connerie est sans limites chez les tordus en mal de conviction.

La santé c'est au-delà de la référence unique à l'absence d'une ou de plusieurs maladies. C'est le fonctionnement général de l'organisme d'un être humain. C'est l'équilibre d'un ensemble d'organes qui ont chacun un rôle à jouer.

Ma santé est ma responsabilité, j'en suis le premier décideur, est-ce de même pour vous?

Personne n'a la responsabilité de me sauver en faisant ceci ou cela. Si vous attendez que je porte un masque ou que j'ai 3 injections pour vous sauver, vous êtes dans les patates pour ne pas dire plus.

Les saines habitudes de vie feront plus que les pilules ou les injections (dont on ne sait le contenu) pour prendre soin de ma santé.

La santé est-elle VRAIMENT la priorité des gouvernants? Si oui, ont-ils les compétences pour y contribuer? Un économiste, ministre de la Santé, qui propose des hot-dogs contre une injection, est-ce VRAIMENT santé? Dans les deux cas, il est permis d'en douter.

Prenez du recul et observez simplement les faits et vous commencerez à douter, ce qui sera une très bonne chose. Cela vous ouvrira les yeux sur ce que vous refusiez de voir. Après combien de doses vos paupières s'ouvriront-elles?

Les compagnies pharmaceutiques veulent votre pognon et se foutent de votre santé. De plus en plus de témoignages vont dans ce sens. Les injectés ne seront jamais immunisés, mais les compagnies pharmaceutiques, si, elles sont immunisées contre toute poursuite, pensez-y!

    Liberté ou sécurité

Toute la question philosophique est là. Beaucoup de philosophes se sont penchés sur cette thématique et le constat unanime est le suivant: la liberté peut nous amener la sécurité, mais jamais la sécurité ne nous amènera la liberté, et cela, il faut bien le saisir, dès maintenant.

Les gouvernements jouent sur la peur, sur l'insécurité pour nous manipuler, ça fonctionne plutôt bien actuellement avec certains et beaucoup moins avec d'autres. Je dirais que ce mode de fonctionnement tire à sa fin, les gens se réveillent de plus en plus. Bientôt, ça ne passera plus.

Dans l'histoire de l'humanité toutes les tentatives de contrôle des peuples par des despotes se sont soldées par des échecs sans exception. C'est une question de temps.

Les railleurs (donc des cyniques) qui rigolent contre ceux qui revendiquent la liberté par-dessus tout déchanteront bientôt. Quand ils commenceront à comprendre que leurs complicités les éloignent de leur propre désir de liberté, c'est d'eux que viendra la colère et les gouvernements n'y pourront rien pour empêcher cela.

Dans l'opéra Nabucco de Verdi, quand le peuple chante "Va pensiero" c'est de liberté dont ils parlent et non de sécurité.

Je m'arrête ici, merci de m'avoir lu, prenez soin de vous!



jeudi 11 février 2021

Pourquoi pas une nouvelle vie?

C'est génial ce qui arrive sur la terre actuellement. 

Notre conscience s'éveille et elle est en train de basculer dans une dimension où la vérité remplacera le mensonge, où la tromperie fera place à l'entraide, où l'indépen-dance se tournera vers l'interdépendance, chacun étant au service des autres en toute réciprocité. L'ombre cédera le pas à la lumière.

Nous cesserons d'attendre des autres qu'ils fassent les choses pour nous et nous prendrons notre place dans ce monde qui est le nôtre. Il est fini le temps d'attendre du gouvernement que les bonnes décisions nous soient offertes pour notre mieux-être. Nous avons le devoir et la capacité de prendre notre vie en main et de dire haut et fort ce que nous voulons.

Répétez à voix haute : "je suis responsable de tout ce qui arrive dans ma vie."

C'est effectivement le cas, tout ce qui vous arrive dans votre vie de bien ou de mal est le fruit de votre responsabilité. Si vous croyez que c'est la faute du gouvernement, alors posez-vous la question : à quel moment avez-vous donné votre consentement tacite à ces mesures qui ne vous plaisent pas? 

Pour des raisons de pseudo-sécurité, vous avez consenti à des mesures temporaires dont vous voyez bien qu'elle ne mène à rien d'autre que de vous forcer à faire des choses contre le gros bon sens le plus élémentaire.

Il est temps de reprendre votre pouvoir, car il est entre vos mains et nulle part ailleurs. S'affirmer positivement c'est aussi la capacité de dire : NON! ÇA SUFFIT!

Nous avons le pouvoir de nous tenir debout et cela fera reculer tout gouvernement qui nous manipule uniquement grâce à notre consentement tacite.

Le Coronavirus est une bénédiction pour éveiller les consciences de tous, chacun à son rythme. La dualité nourrie par les médias dominants qui collaborent à la survie des gouvernements avec leurs mesures dictatoriales tire à sa fin.

Le réveil du peuple, partout sur la planète, est plus présent que jamais et c'est bien ainsi. Cela crée un effet d'entraînement.

La censure de Twitter, YouTube, Facebook n'y changera rien, il ne fera qu'accélérer l'inévitable transition vers la nouvelle dimension grâce au réveil que cela suscite.

Les familles sont dans la prise de conscience de leur existence, avec leurs manques et leurs opportunités de créer un demain emballant.

La bienveillance redevient une valeur qui était mise en veilleuse depuis quelques décennies et qui reprend sa place.

Au lieu de dire: c'est à cause du Covid; dites plutôt: c'est grâce au Covid que... Ce n'est qu'un changement de paradigmes.

Si vous trouvez que le gouvernement ne vous représente plus, levez-vous debout et dites-leur. Imaginez si chaque député, ministre, premier ministre, président recevait quelques centaines de milliers de courriels, que se passerait-il?

Si les médias ne vous plaisent plus, alors désabonnez-vous de leur chaîne. Coupez la chaîne de la servitude de leur propagande télévisée. Envoyez-leur des courriels pour les aviser de la raison pourquoi vous vous êtes désabonnés. Ces centaines de milliers de courriels et de désabonnements les feraient réfléchir.

Nous avons beaucoup plus de pouvoir que nous le soupçonnons. C'est l'ignorance de notre pouvoir qui permet au gouvernement de nous manipuler à sa guise.

Attendre que Donald Trump fasse tout pour nous, c'est un aveu de faiblesse et de manque de courage de notre part. Beaucoup attendent un sauveur pour leur vie, alors qu'il se trouve devant votre miroir de salle de bain.

La nouvelle vie qui nous est proposée est celle de la prise en charge de ce que nous voulons individuellement voir changer dans notre vie personnelle.

samedi 30 janvier 2021

Y a-t-il un journaliste dans la salle?

Vous savez quand une personne à un malaise dans une assemblée de gens, on demande: "y a-t-il un médecin dans la salle?", car on fait appel à une personne apte à soigner une personne en détresse.

Je demande naïvement: "y avait-il un journaliste dans la salle de conférence de presse?" Et si oui, qu'a-t-il fait en entendant ce qui suit?

Le ministre de la Santé du Québec, Christian Dubé dit en conférence de presse le 28 janvier 2021:
"On a hâte de commencer à vaxxer pour éliminer nos personnes vulnérables."

Je réécoute en boucle la reprise de la 56e minute de la conférence de presse et je suis sidéré par plusieurs aspects que je vous explique ici.
  • Le verbe "vaxxer" ou "vaxer" vous ne le trouverez pas en français, car il n'existe pas. C'est un dubéisme, comme il y avait les perronismes dont on se délectait à la belle époque du hockey. On sait que la qualité langagière pour être un ministre n'est pas évaluée, pas plus que les compétences médicales pour être ministre de la Santé. Cela ne semble avoir aucune importance.
  • Quel est le mot choquant de cette citation? Le verbe "éliminer", avant de le commenter définissons-le. Le dictionnaire mentionne que ce mot éliminer vient du latin "eliminare" qui signifie 'faire franchir le seuil'. Voici quelques synonymes pour voir le sens du mot: 
    • Faire disparaître — abolir, supprimer.
    • Faire disparaître un mal — déraciner, éradiquer, faire disparaître, radier, supprimer.
    • SOUTENU – extirper.
    • Détruire complètement — anéantir, annihiler, briser, démolir, détruire, écraser, néantiser, pulvériser, réduire à néant, réduire à rien, ruiner, supprimer.
    • Supprimer une chose abstraite — balayer, écarter, supprimer.
    • Bannir — bannir, exclure, proscrire, rejeter, supprimer.
    • Ne pas envisager — balayer d’un revers de la main, écarter, excepter, exclure, faire abstraction de, mettre à l’écart, ne pas prendre en considération, ne pas tenir compte de, négliger, rejeter.
    • Mettre hors compétition — disqualifier, distancer.
    • Tuer — abattre, assassiner, exécuter, supprimer, tuer.
    • SOUTENU – immoler.
    • FAMILIER – buter, déquiller, descendre, envoyer ad patres, envoyer dans l’autre monde, expédier, faire la peau à, flinguer (arme à feu), liquider, nettoyer, ratatiner, rectifier, refroidir, se faire, trucider, zigouiller.
    • FRANCE, FAMILIER – bousiller, dessouder, escoffier, révolvériser (revolver).
    • VIEUX ou PAR PLAISANTERIE – occire.
    • VIEUX – échiner, meurtrir.
    • SOUTENU – opprimer.
    • Évacuer de l’organisme — évacuer, excréter, expulser, rejeter.
  • Bien malin sera celui qui pourrait dire avec justesse le sens profond que Christian Dubé donnait au mot éliminer lorsqu'il l'a prononcé. Les mots explicites veulent dire exactement ce qu'ils disent. Les interprétations implicites du message sont très subjectives. Ce qu'il a dit il l'a pensé, rien de plus! Essayer de donner un sens à ce qu'il a dit n'est qu'une opinion personnelle. Devant un tribunal, les mots dits sont les seuls retenus par la cour, les interprétations sont laissées aux juges, aux commentateurs et aux éditorialistes qui apprécient ou non le contenu pour diverses raisons.
  • Dans la communication, le message verbal comprend les mots (7%) et la façon de le dire (38%) et le langage non verbal (55%). Une observation fascinante lors de cette minute de la conférence passée en boucle nous démontre qu'après avoir dit cette phrase, Christian Dubé s'est tourné vers François Legault en esquissant un léger sourire auquel ce dernier lui a retourné un léger sourire de complicité. Qu'est-ce que cela veut dire? Je laisse cela à votre interprétation.
  • Autre point sidérant, AUCUN journaliste n'a relevé cela, avec une question sur la phrase venant d'être dite, avec une question sur le sourire de complicité échangé après cette phrase, rien, on passe à la question prévue d'avance, rien à signaler.
  • Alors une question légitime se pose: à quoi sert la présence de ces journalistes à ces conférences de presse, hormis faire bien paraître le gouvernement et passer son message de propagande?
  • Les journalistes ont-ils encore un rôle à jouer autre que d'être les meneuses de claque (cheerleaders) du gouvernement?