jeudi 20 janvier 2011

Besoin urgent de positif

Bonjour à vous,

Je me faisais la réflexion suivante : les gens ont un urgent besoin de positif. Toutes les informations, les nouvelles sont axées uniquement ou presque sur ce qui va mal en ce bas monde. Même la météo nous parle de dépression et les humains veulent être plus heureux.

Si je vous demandais de dire l'affirmation suivante à voix haute :

« Je suis fait pour le bonheur et je choisis d'être heureux! »

Allez-y, dites-le, ne soyez pas gênés c'est de cette affirmation dont dépend votre bonheur, alors l'avez-vous fait? Ceux qu'ils l'ont fait, bravo! Que votre réalité soit en accord avec votre décision. Les autres, bonne chance, mais ne venez pas pleurer sur votre sort.

Je suis tranchant avec ce message, car la vie est juste et elle n'épargne personne. Il vous sera fait uniquement selon votre décision d'être heureux ou non. Aucune échappatoire. Aucun compromis. Aucune négociation.

« La plupart des gens sont heureux dans la mesure
où ils ont décidé de l'être. »

-- Abraham LINCOLN

Toute la question est là? Qu'avez-vous décidé pour l'année 2011, pour cette décennie qui débute, pour le reste de votre vie?

Suite à ce choix, que faire?
  1. Établir un plan de vie telle une carte routière pour se rendre à destination. Vous ne partiriez pas en vacances sans l'avoir d'abord planifié, alors pourquoi ne pas faire de même pour le reste de votre vie.

    Un plan de vie laisse de la place pour des imprévus et des surprises, mais il établit et priorise les choses essentielles pour notre bonheur, notre réussite, notre réalisation.

    Il y a des choses qui sont négociables, d'autres non. Comme dans un voyage, on peut changer le plan de vol pour s'y rendre, mais pas la destination.

    Un formateur de renom disait toujours : « tu écris les choses qui te tiennent à coeur à l'encre indélébile et tu écris la date au crayon de plomb. »

    Un plan de vie se compose de plusieurs volets. C'est en fait tout le fondement de ma philosophie du BRAS de la vie. Les quatre piliers (Bonheur, Richesse, Amour et Santé) apportent les dimensions essentielles et complémentaires à une vie épanouie et réussie.

  2. Se faire une carte de valeurs. Une liste des valeurs qui sont importantes pour vous et que, sans elles, votre vie serait un moins, alors qu'avec elle, votre vie prend tout son sens.

  3. Se choisir un entourage qui partage votre plan de vie et votre carte de valeurs. Ici, on pense au choix de notre carrière qui devra, pour nous combler, respecter notre plan de vie et nos valeurs. Sinon, c'est l'impasse.

    C'est aussi la sélection de nos amis, de nos proches, ceux et celles avec qui nous voulons vivre l'aventure qu'est notre vie. Il y a aussi la personne de notre vie avec qui nous voulons investir. Cette personne devra avoir des valeurs et un plan de vie qui s'amalgame bien avec la nôtre.

    Cela explique en partie pourquoi certaines personnes se laissent après un certain temps, lorsque le plan de vie ou les valeurs de chacun s'éloignent et que les deux personnes ne se rejoignent plus.

  4. Devenir comme du jus d'orange, c'est à dire concentré. Aucun athlète ne parvient au sommet sans la concentration, la visualisation et la détermination.

    Tout le reste n'est qu'excuse. Je dis souvent à quelqu'un si tu veux quelque chose avec assez d'intensité et que ton rêve est plus grand que tes obstacles alors focuse dessus et obtient-le, coûte que coûte!

    Connaissez-vous Agathocle de Syracuse? De lui vient une célèbre histoire de courage et de détermination. Ce conquérant du IVe siècle avant Jésus-Christ décida un bon matin, comme ça, d'attaquer Carthage en Afrique du Nord, après y avoir débarqué troupes et vivres, il donna l'ordre de brûler ses vaisseaux. Puis il harangua ses troupes en ces termes : nous voici devant un seul choix celui de vaincre ou celui de mourir, aucune autre issue n'est envisageable, alors la victoire est devant nous. N'ayant pas d'autre choix les troupes prirent d'assaut la ville et gagnèrent le combat.
Toutes ces étapes partent d'une source unique : vous. Ce sont votre plan de vie, votre carte de valeurs, votre entourage, votre concentration, votre détermination.

C'est votre bonheur après tout!

Sylvain

P.-S. Si vous aimez, laissez-moi un commentaire ici, c'est ma rétribution :)

samedi 15 janvier 2011

J'ai été diagnostiqué

Bonjour à vous,

Je viens d'en apprendre une, j'ai été diagnostiqué enfin. Je cherchais depuis quelque temps en colligeant les symptômes, les manifestations quotidiennes, les répercussions émotives, les changements d'humeur, etc.

C'est une pathologie assez répandue, quoique peu identifiée par ceux qu'ils l'ont. C'est un état incurable, mais qui a tendance à s'atténuer avec le temps. Aucune médication n'est nécessaire, car cela ne ferait qu'affecter les capacités mentales et rien d'autre.

Je parle ici d'épistémophilie qui est un plaisir morbide à acquérir des connaissances. Depuis toujours, tout ou presque m'intéresse. Je peux parler de n'importe quoi avec les gens et si je ne connais pas beaucoup le sujet alors je pose des questions et ainsi j'apprends encore et encore.

À l'école, je me souviens que j'aimais apprendre dans tous les domaines de la vie, les sciences me fascinaient; le français, l'histoire et la géographie piquaient ma curiosité insatiable.

Je ne comprenais pas pourquoi certaines gens trouvaient la vie plate et moche, alors qu'il y avait tant à apprendre et à découvrir sur soi et hors de soi. Puis, Internet arrive et il nous apporte le monde que dis-je l'univers dans notre maison quelle merveilleuse création du génie humain.

Je vous souhaite d'attraper cette maladie et si vous en mourez alors vous en aurez été comblé auparavant!

Sylvain

P.-S. Je sais que certains d'entre vous en sont atteints, car vous laissez des traces sur votre passage. :)

vendredi 14 janvier 2011

Je suis dans le ménage

Bonsoir à vous,

Je suis dans le ménage présentement, dans le ménage de mes pensées, de mes émotions, de ce que je ne veux plus dans ma vie et que je laisse partir librement pour faire de la place pour du neuf.

Vous savez sans doute que la nature a horreur du vide. Qu'un garde-robe plein ne peut accueillir du linge additionnel, qu'un tiroir rempli ne peut rien recevoir de plus parce qu'il est comble. Le comble de la vie c'est d'amasser pour se sentir riche alors que la richesse et l'abondance circulent uniquement là où elles trouvent de l'espace pour le faire.

Je me souviens jadis qu'une amie donnait tout son linge au début du printemps et elle se procurait plein de nouvelles choses magnifiques en remplacement, cette idée vous plaît?

Combien de cochonneries gardons-nous au cas où? Maudite peur d'en manquer, de pénurie, de pauvreté. Il ne s'agit pas de jeter et de gaspiller, mais plutôt de donner aux autres à ceux qui recevront cette richesse du don comme de l'abondance et en plus cela fera de la place pour de la nouvelle abondance dans notre vie.

Toute la richesse de la vie tient en un mot... circulation! Je suis en santé quand mon sang circule dans mes artères et mes veines, je suis en santé quand l'air circule dans mes poumons.

Je suis riche quand je reçois de l'argent que je donne ici et là pour le bien des autres et en retour le mien. La circulation des capitaux est la solution à toutes crises financières. La rétention par peur d'en manquer provoque la récession. Si je ne fais de l'argent que pour la mettre de côté par peur d'en manquer pour mes vieux jours alors je suis dans la mentalité de pauvreté et de pénurie et j'attire à moi les circonstances qui manifesteront cet état de pensée sclérosée et malade.

La prévoyance, l'économie, la saine gestion de mes finances, la juste utilisation de mon argent pour mon bien et celui des autres sont parfaitement justifiées. S'en mettre de côté c'est bien, mais l'utiliser quand on en a envie c'est encore mieux. Je n'ai et je n'aurai jamais le goût de thésauriser et de léger à mes enfants une fortune en me privant de mon vivant.

Je vis intensément et s'il en reste tant mieux sinon tant mieux j'aurai bien vécu. J'ai malheureusement vu trop de gens se battre pour des héritages alors que les défunts ont oublié de se payer la traite de leur vivant pensant que cela allait être bon de laisser à leurs héritiers un bon montant.

Je suis dans le ménage de mes liens insignifiants dans Facebook, dans Twitter, dans mes centaines de courriels inutiles que je reçois chaque jour, je fais de la place pour ce qui est important pour moi.

La vie est bonne, elle éloigne de moi ceux et celles dont je n'ai plus besoin et elle me rapproche de ceux et celles qui sont nécessaires à mon évolution.

Ces derniers jours ont été merveilleusement bénéfiques, car j'ai vogué de prise de conscience en prise de conscience avec le résultat que je me sens divinement bien en ce moment. Ma santé s'améliore, mes finances s'améliorent, ma créativité s'améliore.

Je vous souhaite de faire le ménage, n'attendez pas le printemps...

Faire le ménage c'est parfois ne pas se ménager...

Sylvain

samedi 1 janvier 2011

Il faut que

Bonjour à vous et bonne année !

Être dans la dynamique de l'«il faut que», c'est être dans la dynamique paralysante et qui nous semble, à raison, plus difficile que nécessaire.

Il faut que je fasse ceci ou cela. Il faut que j'appelle un tel, une telle. Il faut que je paie mes comptes. Il faut que je prépare à souper pour les enfants, la famille. Il faut que je lave la vaisselle. Il faut que je range mon bureau, ma chambre, mon atelier. Il faut que...

Il faut prendre une résolution, le premier de l'an.

Que de tensions empoisonnantes et qui finissent par nous faire procrastiner, remettre à plus tard.

La solution est d'une facilité déconcertante, il s'agit simplement de changer de verbe.

Remplacer le verbe falloir par le verbe vouloir.

Je veux faire ceci ou cela. Toute l'énergie créatrice et génératrice de réalisation se trouve amplifiée par le fait même. Quand on veut faire quelque chose, la moitié de la tâche est accomplie.

Dans mon séminaire de la Gestion Pratique du Subconscient, j'utilise le thermomètre de la réussite et dans celui-ci se trouvent les indices suivants:

100%

Je décide

95%

Je veux

90%

Je peux

80%

Je pense que je peux

70%

Je pourrais

60%

Je pense que je pourrais

50%

J’y penserai de nouveau

40%

Je voudrais bien

30%

Je ne sais pas comment

20%

Je ne peux pas

10%

Je ne veux pas

0%

C’est impossible


L'«il faut que» se situe autour du 40% comme le «Je voudrais bien, mais...» et après on se demande pourquoi ça ne nous tente pas de faire une chose. Il ne fallait pas que j'écrive cet article, j'ai décidé et j'ai voulu l'écrire, là est la différence.

Le résultat est mission accomplie.

Encore une fois, bonne année et que vos décisions vous mènent vers les plus hauts sommets.

2011, l'année des décisions matérialisées dans l'action.

Sylvain