samedi 25 juillet 2020

Réflexions du samedi - numéro 1

Mise en contexte

Dans une vie où l'information circule à une vitesse folle, avons-nous le temps de réfléchir? De prendre un temps d'arrêt, de réfléchir, de se pencher deux fois (ré-flexion) sur ce que la semaine nous a appris.

Comment nourrir mon cerveau et emmagasiner ces informations pour agir dans la cohérence avec le reste des connaissances que j'ai déjà en moi et auxquelles j'ai accordé de la valeur à mes yeux?

C'est à cela que cette chronique hebdomadaire vous conviera, de faire un bilan de l'information que j'ai reçue cette dernière semaine et de ce que je vais en faire.

Semaine du 19 juillet

Cette semaine a été riche en messages de haute intensité par plusieurs sur Internet, une vraie guerre de tranchées. Justement, je me fais la réflexion que devant ce dédale de prises de position, pour mon équilibre, je dois me recentrer sur ce qui fait du sens pour moi et cesser de nourrir ce qui nuit à ma vie.

Lundi 20 juillet, j'écoutais les deux conversations du lundi de Jean-Jacques Crèvecœur et une sensation de grande baisse d'énergie s'installa en moi, me faisant me questionner sur la pertinence de continuer à écouter ses conversations.

Des contacts Facebook me sollicitent pour que j'aille à la manifestation à Québec ce 26 juillet. Je suis en réflexion d'y participer sur plusieurs aspects:

  • À quoi cela va-t-il servir?
  • Quel sera l'impact de cette démonstration?
  • Est-ce que ce temps de déplacement serait mieux utilisé ailleurs?
  • Est-ce que j'ai le goût de dépenser du pétrole pour enrichir ces compagnies inutilement?
  • Est-ce que j'ai le goût de me battre avec les restaurateurs pour ne pas vouloir porter des masques, alors qu'ils joueront à la police du masque avec moi?
  • Est-ce que je sens que je serai utile là-bas?
  • Est-ce que j'ai le goût de jouer la game de la confrontation? Les policiers n'attendent que cela avec un petit coulis de bave sur la joue.

La solution à mes yeux pour vraiment avoir un impact significatif est un appel à la grève générale du peuple, médecin, infirmières, pharmaciens, services de garde, marchés d'alimentation, restaurateurs, transporteurs, là, le gouvernement rétropédalerait en sacrament. En bas de cela, c'est un jeu de pouvoir et nous ne l'avons pas ce pouvoir. La moitié de la population est complice avec le jeu du dictateur Arruda.


Mardi 21 juillet, une mise au point de Jean-Jacques sur l'interprétation à donner à ses conversations améliore mon niveau énergétique, mais sans plus.

Comme ça fait quelques fois qu'on me parle de l'Art de la guerre de Sun Tzu, je décide d'en prendre connaissance en écoutant une longue version audio de deux heures et demie pour m'en faire une idée. C'est intéressant pour comprendre le modus operandi de certains leaders de ce monde. J'y reviendrai.

Mercredi 22 juillet, je passe une agréable soirée avec un ami qui me demande conseil dans mon champ d'expertise, les placements boursiers. Nous convenons assez facilement que l'état des marchés boursiers mondiaux qui est en lien avec les marchés financiers mondiaux est très instable et qu'il serait périlleux de s'y hasarder sans une certaine prudence.

Quand on constate que le marché boursier américain est contrôlé par la performance de 5 titres, on peut se dire que les dés sont pipés d'avance. Le GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft) décide si le marché sera en hausse ou en baisse un tel jour, c'est du non-sens. Être à la remorque de ces monstres financiers est un risque considérable, pour les petits joueurs que nous sommes.

Jeudi 23 juillet, je regarde l'info en questions, la revue hebdomadaire de quelques lanceurs d'alertes (Ema Krusi, Salim Laïbi, Dr Tal Schaller, Jean-Jacques Crèvecœur et Dre Violaine Guérin). Cette 7e édition a été, selon moi, une des meilleures émissions qu'ils ont faites. Les sujets et la qualité du traitement de ces informations, c'est de la bombe.

Parmi ces sujets, j'ai accroché sur deux:
1-Les scandales des compagnies pharmaceutiques et les procès qu'elles ont toutes perdus.
2-Les huit critères de la coercition identifiés par Amnesty International en 1975. C'est choquant d'en faire le rapprochement avec ce que nous vivons actuellement et d'y déceler les similitudes en tout point, c'est troublant.

J'ai pris le temps de regarder la vidéo d'Amazing Polly qui donne en détail les rapprochements de la crise du covid-19 et des mécanismes de la torture, c'est stupéfiant et renversant.

Vendredi 24 juillet, je tombe sur la vidéo de Pierre Rousseau qui dit avec des mots assez crus de se réveiller et de ne pas toucher à ses petits enfants, ce qui démontre à quel point, il est inquiet pour eux. Cela me rejoint beaucoup, car ça fait des mois que je n'ai pas vu mes petits-enfants et ils me manquent énormément.

Avec tout cela, cette semaine, je sens la colère qui monte en moi. Je vois les commentaires de plus en plus virulents sur Facebook entre des gens qui auparavant se parlaient respectueusement, la dégradation est un signe de tension évidente.

Je suis contre le port du masque et je suis contre la vaccination au complet, cela demeure une évidence pour moi. Malgré cela, je me demande comment le fait de participer au chialage collectif entre tous ceux qui sont contre nous aidera à autre chose que d'être encore plus déprimé ou encore plus en colère. De faire monter notre agressivité, notre cortisol et de diminuer notre système immunitaire, dont les gens conscients semblent avoir oublié son existence, tellement ils sont dans la lutte tête baissée, est-ce la meilleure solution?

Devant ce constat, je vais me retirer des groupes qui sont contre ceci ou contre cela et je vais simplement exprimer haut et fort ce en quoi je crois sans animosité, ou à tout le moins avec le minimum requis.

jeudi 23 juillet 2020

Ne faites pas ça!

Avertissement: votre façon de penser peut changer radicalement si vous continuez à lire ce texte, de nouvelles connexions neuronales se formeront à jamais dans votre néocortex et elles influenceront pour toujours votre nouvelle façon de voir la vie et les éléments qui en découlent.

Vous ne me croyez pas? Regardez votre façon d'envisager la vie actuellement. Est-ce la façon dont vous la voyiez, il y a 8 mois de cela? Qu'est-ce qui a fait changer votre vision de la vie dernièrement?

Prenez un exemple récent: le titre de ce message «Ne faites pas ça!» qu'a-t-il déclenché en vous? Comment y avez-vous réagi? Est-ce que votre curiosité a été piquée pour vous donner le goût d'aller contre mon interdiction?

Cela induit un concept que nous sommes tous manipulables, mais à quel prix?

Les médias savent une maxime publicitaire qui peut influencer et manipuler le public cible, c'est la répétition. Que vous ont-ils répété depuis des mois?

Les mots comme: pandémie, virus mortels, asymptomatique, éclosions, mort du covid vous ont été répétés en continu avec des bulletins spéciaux, des alertes de dernière heure, des nouveaux cas, de nouveaux morts, etc.

Combien de fois vous ont-ils parlé de la santé, de la puissance de votre système immunitaire, de ce qu'est un virus, que nous avons dix fois plus de virus dans notre corps que de cellules et qu'ils participent à nous maintenir en vie. Combien de fois?

Voyez-vous où je veux en venir? Vous avez été intoxiqué par les médias anxiogènes qui vous ont sali le cerveau avec leur merde à répétition. 

Vous croyez ne pas en être affecté? 


Regardez simplement votre réaction au port du masque. Il vous a été dit à plusieurs reprises des propos contradictoires sur le masque: 
  • Dr Arruda, 18 mars, dans sa vidéo, nous rappelle que le port du masque est inutile hors du contexte médical et que l'important était de se laver les mains. 
  • Dr Arruda, 20 avril, dans sa vidéo, a rappelé que le port du masque ne serait pas obligatoire au Québec. 
  • Dr Arruda, 10 juillet, dans sa vidéo, dit que le port du masque sera obligatoire partout au Québec dans les transports en commun dès le 13 juillet. 
  • Dr Arruda, 15 juillet, dans sa vidéo, dit que le port du masque sera obligatoire partout au Québec dans les endroits publics fermés dès le 18 juillet.
Alors que croire, je vous rappelle que le 18 mars nous étions dans le début d'une pandémie au plus fort des risques et que le masque n'était pas recommandé, pourquoi?
Le 15 juillet alors que la pandémie est à son plus bas, donc au plus faible des risques, le port du masque devient obligatoire, pourquoi?

La nouvelle astuce médiatique, ils justifient la nécessité du port du masque en raison de l'augmentation du nombre de cas positifs actuellement, mais ils se gardent bien de vous dire pourquoi le nombre de cas positifs est en hausse. Je vais vous le dire, parce qu'il y a plus de tests de détection.
Si sur 1000 personnes testées 30 personnes sont déclarées positives, ça donne 3%, d'accord?
Si vous testez 10000 personnes et que 300 personnes sont déclarées positives, ça donne toujours 3%, toujours d'accord?

Les médias jouent sur les mots, plus de cas testés certes, mais pas plus de pourcentage de cas déclarés. Ce qui annule la prétention de l'augmentation de la pandémie qui se base uniquement sur le taux de cas déclarés par rapport aux cas testés.

La seule raison du dictateur Arruda pour imposer le port du masque est fausse comme je viens de le démontrer.
Si sa raison est fausse, alors qu'elles sont ses véritables raisons? 
Qui osera lui poser cette question fonda-mentale? 
Quel journaliste digne de ce titre osera? 
Quel député osera lui demander de s'expliquer clairement? 
Oserez-vous vous poser la question pour vous-même?

Parlant de manipulation, parlons du mot respect. 


Le dictionnaire définit le respect comme un sentiment qui porte à accorder une considération admirative à une personne ou à une institution qui possède une grande valeur morale ou sociale.

Des expressions intéressantes sur le respect: 
"Tenir quelqu'un en respect" le menacer avec une arme.
''Respect humain" crainte que l'on a du jugement des autres.

En fait ceux qui prônent le respect des autres en portant le masque sont aussi des gens qui tentent de manipuler les autres.

Le respect c'est comme l'amour, ça commence par soi-même.

Si je me respecte d'abord, et que j'ai le sentiment de te respecter, je ne porterai pas le masque en aucun endroit, sauf dans un milieu médical, si cela est nécessaire. Car les enseignements que j'ai tirés de mes études et de mes recherches sur le sujet me dictent que pour ma santé, je ne dois pas faire obstruction à ma respiration et qu'ainsi, je demeurerai sain et se faisant, j'aiderai à ne pas propager de microbes qui pourraient nuire à la santé des autres. C'est cela pour moi le respect de l'autre.

Si vous n'êtes pas d'accord avec ma position, vous avez le loisir de faire le contraire, mais vous avez l'obligation de respecter mon choix, sans tentative de culpabilisation de votre part envers moi.

Je respecte que si vous voulez porter le masque et vous priver de respirer librement, que vous puissiez le faire et vous n'aurez pas de résistance contre cela de ma part. Sans tentative de culpabilisation de ma part qui ne serait qu'un mécanisme de tentative de jeu de pouvoir.

Un respect mutuel est la seule façon que j'entrevois que nous puissions sortir de cette crise politique-économique-sociale-sanitaire-mondiale actuelle.

Avec tout mon respect,

Sylvain Daigle


mardi 21 juillet 2020

Où allons-nous?

Je suis en train d'écouter la purification des chakras de Doreen Virtue, une méditation du matin et monte en moi le besoin de mettre par écrit ce qui émerge.

Hier, j'écoutais plusieurs vidéos de plusieurs gens sur leurs points de vue de la situation actuelle, et l'énergie qui s'en dégageait ne me satisfaisait pas du tout.

J'observais également le niveau de violence dans les propos des gens sur Facebook qui s'insultaient plus qu'ils n'échangeaient, c'était très palpable que l'harmonie avait fui les lieux.

Est-ce cela que je veux vivre? Faire la gestion coercitive des messages mis sur ma page qui ne sont que jugements, que préjugés, que prêts d'intentions, que généralisations, qu'exagérations, qu'imprécisions; cela ne m'intéresse pas.

Ceux et celles qui me lisent depuis un certain temps savent que je suis soucieux de partager des informations crédibles ou à tout le moins qui font sens avec la rigueur de dire ce qui est. Je ne partage qu'environ un tiers des informations que je consulte, car les deux autres tiers ne m'apparaissent pas suffisamment crédibles ou intéressants pour l'être.

Malgré cela, je me fais ramasser par des Ti-Jos-connaissants, des guerriers du clavier pour qui le courage se retrouve derrière l'anonymat de leurs propos de bas étage.

J'accepte que mes propos ne plaisent pas à tout le monde et je vis très bien cela, cependant je me demande toujours comment ce comportement de lâcheté manifeste fera avancer le débat vers une solution commune bénéfique pour le plus grand nombre.

Deux personnes que j'estime ont exprimé en des mots différents le même message.

Celui de cesser de tenter de convaincre sur ce que je perçois comme la réalité et que les médias dominants nous cachent sciemment.

Celui de laisser les croyants du message officiel des gouvernements aller droit dans le mur parce que c'est ce qu'ils veulent et qu'ils se réveilleront peut-être ou pas et que cela ne nous appartient pas.

Ma nature combative et aimante est en porte-à-faux avec cette approche. De toutes mes luttes passées, dans mes combats pour la justice d'une cause ou l'autre, je me suis toujours dit qu'une personne de plus de convaincue, c'était une personne de moins contre l'idée que je défendais.

La donne différente actuellement est la manipulation de masse par le gouvernement qui joue dans la tête des gens avec la peur. Cette sidération nourrie par des organes de propagande bien soumis que sont les médias dominants est un facteur qui envenimera la situation et dans un avenir assez rapproché.

En 2012, le printemps érable, la crise étudiante est allée jusqu'au bout en faisant chuter le gouvernement de John James Charest. Nous avons passé un été confrontant et la résistance a gagné, mais à quel prix.

Devons-nous prendre la rue avec des manifestations qui iront inévitablement dans la confrontation? Y a-t-il une autre solution? Le gouvernement sous-estime la docilité et la patience du peuple, son message de docilité et d'obéissance ne passe plus, même avec les appels de la vice-première ministre, cela ne fait que radicaliser ceux et celles qui disent haut et fort que c'est assez.

Est-ce un passage obligé? Il semble que c'est ce que le gouvernement provoque. Le peuple ne descend pas dans la rue quand le gouvernement le sert bien et qu'il est à son écoute. Or ici, le gouvernement ne nous écoute pas, ne légifère pas et dirige par des décrets qui sont loin de servir les intérêts de la population.

Le port du masque est un faux débat et pendant qu'on s'entredéchire sur cela, les choses encore plus liberticides s'en viennent et la plupart en sont aveugles.

Le discours durcit sur des raisons de porter le masque ou non. On oppose les droits de certains aux libertés des autres, ce qui est une erreur de syllogisme. Nous avons tous les mêmes droits et les mêmes libertés.

Plusieurs confondent le droit à la santé qui est individuel et le droit d'association qui lui est collectif. Je n'ai aucune obligation à prendre soin de la santé de l'autre. J'ai cependant le devoir de ne pas nuire à la santé de l'autre.

La meilleure façon de ne pas nuire à la santé de l'autre est de me garder dans la meilleure santé qui existe, car si je me rends malade en portant un masque qui va m'intoxiquer, comment cela va-t-il t'aider dans le maintien de ta propre santé?

La plupart des gens ignorent la notion de stérilité du masque. Tout comme ils méconnaissent le fonctionnement de leur système respiratoire et pour leur système immunitaire, n'en parlons pas.

Les médias sont gravement complices de maintenir les gens dans l'ignorance de leur santé et comment y veiller. Les médias nous empoisonnent avec des données sur la mort et la maladie, sur tout ce qui est néfaste pour nous manipuler.

Au-delà de refuser de porter le masque parce qu'il n'est qu'un signe d'obéissance, de docilité et de soumission, je refuse de porter un masque pour une raison majeure, celle de prendre soin de ma santé. Ainsi, je ne contribuerai pas à vous contaminer et à vous rendre malade. Voilà ce que vous devriez entendre quand je dis que je ne consens pas au port du masque.

C'est mon droit de prendre soin de ma santé.
C'est mon droit de ne pas m'intoxiquer avec un masque.
C'est mon droit de respirer librement.
C'est mon droit de vivre librement comme j'ai été créé.
C'est mon droit de ne pas suivre un décret qui n'est pas bon pour ma santé.
C'est mon droit de refuser de me soumettre à un acte préjudiciable à ma santé.

Ce sont aussi vos droits, vous pouvez les exercer.

Comme vous voyez, il ne s'agit pas d'un plaidoyer pour la liberté qui pourrait tout aussi bien être développé ici, mais de mon droit à la santé.

Devant ce constat, je demande au gouvernement de reculer et de cesser de nous manipuler. Votre légitimité cesse quand le peuple descend dans la rue et vous dit: c'est assez!

samedi 18 juillet 2020

Qui croire?

Bon samedi à tous,

Je me suis levé avec cette question: devant tous ces propos divergents, qui croire?

À qui devons-nous apporter notre confiance, car c'est bien de cela qu'il s'agit?

À qui puis-je faire confiance devant cette déferlante de messages contradictoires?

Vous et moi pouvons trouver des arguments en faveur d'une thèse et son contraire avec facilité sur Internet de nos jours. Il s'agit de faire marcher ses doigts dans des moteurs de recherche et vous allez avoir une pléthore d'informations à vous faire perdre le reste de votre vie pour trouver la vraie information complète, irréfutable et indiscutable qui sera contredite par la référence suivante. C'est le mythe de Sisyphe.

Dans la mythologie grecque, Sisyphe avait été condamné par les dieux de l'Olympe à rouler une énorme pierre en haut d'une montagne conique. Lorsqu'il avait fini de la remonter cette pierre redescendait en bas de la montagne et il devait recommencer son oeuvre de nouveau et ce pour l'éternité.

Bref, on ne s'en sort pas. Je suis un chercheur de vérité et comme chercheur, je fouille, je creuse, je lis, je collige, j'observe, j'analyse et je me retrouve à ne plus savoir qui dit vrai.

Certains me diront: il n'y a que les faits qui comptent. Vraiment? Sur quels faits vous basez-vous pour affirmer avec autant de certitude cette assertion?

D'autres ne jurent que par leur intuition, ils sentent les choses et cela devient leur vérité. Vraiment? Votre intuition est-elle toujours fiable? Est-elle toujours à être écoutée?

Certains autres prétendent qu'ils savent et c'est tout! Vraiment? J'ai une seule question pour ceux qui savent. Comment savez-vous que vous savez?

Puis il y a les expérimentateurs, ceux qui font passer l'épreuve du temps et de la démonstration physique dans la réalité tridimensionnelle. Vraiment? Est-ce une méthode fiable à 100% dans tous les cas? N'y aurait-il pas des zones grises dans ce processus fermé? Les dimensions supérieures sont-elles oubliées?

Comme vous voyez, ce n'est pas si simple. Puis je n'ai pas parlé de la physique quantique qui ajoute un élément d'intention qui influence la réalité des choses.

La vérité, voilà ce que nous recherchons dans tout cela. Vraiment? Recherchons-nous la vérité ou une vérité à laquelle nous donnerons facilement notre consentement parce qu'elle fera notre affaire?

Plusieurs personnes se font dire leur vérité en pleine face et sont-elles d'accord avec celle-ci? C'est plutôt la réfutation en grappe sans aucune nuance.

Ainsi tous ces concepts nous amènent à un constat que nous ne savons pas que nous ne savons pas. Nous avons tous une partie de la vérité, mais à cette partie incomplète pour donner du sens doit s'ajouter la parcelle de vérité de l'autre.

Cela nous aiguille sur la crédibilité de la parcelle de l'autre vérité, donc à la confiance que nous apportons aux propos de l'autre.

Ainsi la boucle est bouclée. La crédibilité ou la foi en ce que l'autre affirme me fera me positionner à dire: je crois que c'est vrai ou j'ai un doute.

Il y a aussi les préjugés. Ce que je pense de l'autre concernant son allure physique, ses cheveux, sa barbe, son habillement, sa couleur de peau, sa façon de parler, sa religion, son ethnie, etc. Cela aussi pourra teinter mon appréciation des propos de cette personne.

Quand je prends position est-ce que je deviens nécessairement en opposition aux idées des autres qui ne pensent pas comme moi?

Quand un message devient contradictoire par la bouche de la même personne, à quelle version devrais-je accorder le plus de crédibilité?

Ma quête de vérité

Pour vous parler un peu plus concrètement, je vais vous partager comment je fonctionne pour trouver la vérité ou la partie de la vérité à laquelle j'accorderai mon consentement.

Je débute toujours ma quête de vérité par une recherche ouverte, ne sachant que peu de chose devant toutes les connaissances de l'univers, je suis en mode découverte sans a priori. Je suis comme un enfant devant une chenille.

Je récolte l'information de différentes sources, de différents moteurs de recherche, car un moteur de recherche unique donnera toujours le même type de résultats puisque ses algorithmes sont conçus ainsi.

Je collige l'information dans des schémas heuristiques, car cela permet au cerveau une meilleure rétention de l'information puisqu'elle est mieux structurée. Cela donne aussi la possibilité de voir ce qui est acquis de ce qui reste à trouver.

Je cherche les documents sources et non les intermédiaires qui les relatent, car nous savons que tout ce qui est transmis par quelqu'un est toujours teinté de la couleur de ce transmetteur. Par exemple: je préfère lire un original qu'une traduction.

L'interprétation est un filtre qui peut biaiser légèrement ou lourdement les propos énoncés. Ainsi, un texte de projet de loi doit être lu dans son intégralité pour le comprendre entièrement.

La rigueur est un de mes critères que j'applique systématiquement dans chaque lecture. L'avantage de cette rigueur est qu'elle permet de discerner assez facilement les propos qui se tiennent de ceux qui sont de qualité douteuse.

Je lis toujours l'entièreté des textes avant de les partager dans mes pages et je ne me fis jamais aux titres qui sont très souvent inexacts voire mensongers.

Les différentes sources permettent d'élargir mon point de vue. Loin de la pensée unique, je ne croirai jamais à une seule version de la situation que certains tentent de nous faire gober. Je me méfie de la pensée unique actuelle des médias dominants, car ils sont porteurs de mensonges, de propagande et d'endoctrinement qui nous dirigent vers la dictature. C'est ainsi que cela a toujours été.

Ma vérité est-elle plus importante que ta vérité? Oui pour moi et non pour toi. Cependant, si nous juxtaposons nos vérités peut-être que nous serons plus près de la vérité absolue, qui sait.

jeudi 16 juillet 2020

Le masque du Québec

Pendant qu'on débat sur le port du masque ou le masque du porc au Québec, il se passe bien des choses masquées et des pires que ce niaisage de mascarade.

Avez-vous remarqué qu'il y a deux clans au Québec :

  1. Les moutruches* qui réclament le respect de leur survie au détriment de la vôtre en exigeant l'obligation du port du masque qui conduira à la prochaine étape de l'obligation vaccinale pour tous.

    Ils ont peur pour leur sécurité.
  2. Les conspirationnistes* qui voient dans tout cela un vaste complot contre leur liberté chérie. Que le Dr Arruda est à la solde de l'OMS qui est la propriété de Kill Bill Gates.

    Ils ont peur pour leur liberté.
Avez-vous remarqué que l'agressivité est montée de plusieurs crans depuis quelques semaines? La tolérance et la bienveillance ont fait place à la confrontation entre plusieurs qui ne se connaissent même pas sur les réseaux sociaux. Je reçois quotidiennement des insultes et des menaces de gens que je ne connais même pas, c'est hallucinant.

Je suis pour la confrontation des idées dans le respect et la civilité, mais je déteste que le débat des idées devienne des attaques personnelles et des insultes entre nous.

Bref, les Québécois sont pognés solide dans la peur de ne plus être respecté, la peur de la maladie, la peur de mourir, la peur de perdre leur liberté ou leur droit, la peur de souffrir donc vaut mieux se soumettre docilement pensent-ils.

La peur c'est quoi?
"La peur est un Problème Émotionnel qui est Urgent de Régler."
La responsabilité du Problème doit être reconnue par celui qui l'a créé. Sans cela, nous sommes dans le mensonge et dans le déni. Pour penser pouvoir régler un problème, il faut commencer par clairement l'identifier dans ses moindres aspects. Pour comprendre un problème, il faut l'observer et l'analyser avec rationalité. Le hic est que devant la peur nous perdons notre logique et il nous est quasiment impossible de supputer les éléments qui doivent l'être.

L'Émotion est un besoin psychologique qui doit être exprimé.
En effet, une émotion non exprimée s'imprime en nous et développe la maladie qui est liée à sa stigmatisation. C'est le cas de plusieurs maladies, dont le cancer. Il est vital et sain de sortir son émotion, de la vivre avec l'intensité nécessaire pour que l'équilibre revienne dans nos besoins.

L'Urgence est variable selon plusieurs paramètres.
L'urgence sanitaire: devions-nous tout sacrifier pour répondre à cette seule urgence? Comment le confinement des gens sains a-t-il aidé à sauver des vies?

L'urgence économique: était-ce nécessaire de nuire à toute l'économie de la société pour ensuite clamer des mesures dictatoriales pour la relancer? Est-ce que la faillite de plusieurs commerces et la perte de plusieurs emplois sont de bonnes choses?

L'urgence sociale: en quoi était-ce utile de laisser mourir nos aînés dans les CHSLD, de faim, de soif, de sous-médicamentation, de manque de soins, de solitude, d'abandon de repères avec la privation de leurs aidants naturels? La distanciation sociale hormis l'endoctrinement à la docilité avait et a quel but?

L'urgence psychologique: Est-ce que nos jeunes ont été pris en main et adéquatement supportés dans leur éducation, leur socialisation, leur quotidien? Est-ce que nos aînés ont été abandonnés à leur sort et à leur solitude?

Le Régler doit être sous la responsabilité de tous dans la mesure où celui qui l'a créé le permet. Quand une pandémie est terminée, qui décide de la maintenir et de la faire perdurer? À quelles fins? Il y a au Québec des sadiques qui veulent faire durer la souffrance et des masochistes qui en redemandent encore plus. Est-ce une propagande, à dessein, de quelque chose d'autre? Veut-on nous maintenir dans la peur? Dans la soumission docile? Et quoi encore? La 2e vague tant souhaitée par Dr Arruda est-elle bien réelle scientifiquement?

Quelle est l'issue à tout cela?

Nous sommes dans la 3e guerre mondiale. Dans quel camp sommes-nous? Dans quel camp êtes-vous?

Le camp du gouvernement qui veut vous maintenir dans l'urgence sanitaire? Le camp qui prône la délation de vos voisins à la police? Le camp qui souhaite à 95% une 2e vague du covid-19? Le camp qui impose le port du masque obligatoire en juillet partout au Québec? Le camp de la dictature douce qui gouverne par décrets et non par des lois?

Le camp de ceux qui cherchent à comprendre les enjeux cachés de ce gouvernement? Le camp de ceux qui dénoncent les abus sous toutes formes? Le camp qui promeut le gros bon sens de la vie simple et normale? Le camp qui croit que le système immunitaire existe et qu'il joue un rôle essentiel dans la santé?

Faites vos jeux, rien ne va plus...

Sunny Angel disait :
"dites un mensonge vous êtes crus, dites la vérité vous êtes cuits."
Si vous rencontrez une personne qui porte un masque, demandez-lui:
  1. Pourquoi portes-tu un masque?
    - Pour te protéger.
  2. Es-tu malade?
    - Non.
  3. Tu me protèges de quoi si tu n'es pas malade?
  4. - Euh!

Savez-vous ce que le port du masque fait à celui qui veut tellement protéger l'autre?
  • Il retient son dioxyde de carbone à chaque expiration. 
  • Il reprend ce dioxyde de carbone à chaque inspiration suivante.
  • Il nuit à la fonction émonctoire de chaque expiration.
  • Il devient humide à chaque expiration et fertile à la prolifération de nouveaux microbes (bactéries, virus, champignons).
  • Il affaiblit le système respiratoire optimal en créant une baisse d'oxygénation dans le sang à chaque respiration, c'est cela l'hypoxie.
  • Il peut générer des maladies respiratoires à moyen terme.
La bonne façon d'utiliser un masque:
  1. Est-ce que votre masque est stérile?
  2. Est-ce que vous lavez vos mains avant de le mettre sur votre visage? 
  3. Est-il adéquatement porté? 
  4. Est-ce que vous le changez régulièrement? 
  5. S'il est en tissus, le lavez-vous après chaque utilisation?
Si vous ne suivez pas ces règles, vous n'êtes pas seulement à risque pour les autres, mais également pour vous!

Il y a aussi des contre-indications pour certaines personne à porter un masque. Ceux qui font de l'eczéma, de l'asthme, de l'hyperventilation, de l'angoisse, de dépression, etc.

Comme vous le constatez, tout cet exercice nous démontre qu'un regard en profondeur est nécessaire si vous voulez sortir de votre peur, quelle qu'elle soit.


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* Moutruche: sorte de mammifère hybride issu d'un croisement entre un mouton docile et une autruche qui se cache la tête dans le sable pour ne pas regarder la réalité en face. Il est caractérisé par une consommation excessive de papier cul.

* Conspirationniste: ardent défenseur de la théorie du complot. Il est avec votre esprit "Con Spiritu" et se trouve entre l'inspiration et l'expiration. Il rêve d'un monde meilleur en dérangeant sans cesse son entourage. Avec lui, même le sommeil est suspect.