samedi 25 juillet 2020

Réflexions du samedi - numéro 1

Mise en contexte

Dans une vie où l'information circule à une vitesse folle, avons-nous le temps de réfléchir? De prendre un temps d'arrêt, de réfléchir, de se pencher deux fois (ré-flexion) sur ce que la semaine nous a appris.

Comment nourrir mon cerveau et emmagasiner ces informations pour agir dans la cohérence avec le reste des connaissances que j'ai déjà en moi et auxquelles j'ai accordé de la valeur à mes yeux?

C'est à cela que cette chronique hebdomadaire vous conviera, de faire un bilan de l'information que j'ai reçue cette dernière semaine et de ce que je vais en faire.

Semaine du 19 juillet

Cette semaine a été riche en messages de haute intensité par plusieurs sur Internet, une vraie guerre de tranchées. Justement, je me fais la réflexion que devant ce dédale de prises de position, pour mon équilibre, je dois me recentrer sur ce qui fait du sens pour moi et cesser de nourrir ce qui nuit à ma vie.

Lundi 20 juillet, j'écoutais les deux conversations du lundi de Jean-Jacques Crèvecœur et une sensation de grande baisse d'énergie s'installa en moi, me faisant me questionner sur la pertinence de continuer à écouter ses conversations.

Des contacts Facebook me sollicitent pour que j'aille à la manifestation à Québec ce 26 juillet. Je suis en réflexion d'y participer sur plusieurs aspects:

  • À quoi cela va-t-il servir?
  • Quel sera l'impact de cette démonstration?
  • Est-ce que ce temps de déplacement serait mieux utilisé ailleurs?
  • Est-ce que j'ai le goût de dépenser du pétrole pour enrichir ces compagnies inutilement?
  • Est-ce que j'ai le goût de me battre avec les restaurateurs pour ne pas vouloir porter des masques, alors qu'ils joueront à la police du masque avec moi?
  • Est-ce que je sens que je serai utile là-bas?
  • Est-ce que j'ai le goût de jouer la game de la confrontation? Les policiers n'attendent que cela avec un petit coulis de bave sur la joue.

La solution à mes yeux pour vraiment avoir un impact significatif est un appel à la grève générale du peuple, médecin, infirmières, pharmaciens, services de garde, marchés d'alimentation, restaurateurs, transporteurs, là, le gouvernement rétropédalerait en sacrament. En bas de cela, c'est un jeu de pouvoir et nous ne l'avons pas ce pouvoir. La moitié de la population est complice avec le jeu du dictateur Arruda.


Mardi 21 juillet, une mise au point de Jean-Jacques sur l'interprétation à donner à ses conversations améliore mon niveau énergétique, mais sans plus.

Comme ça fait quelques fois qu'on me parle de l'Art de la guerre de Sun Tzu, je décide d'en prendre connaissance en écoutant une longue version audio de deux heures et demie pour m'en faire une idée. C'est intéressant pour comprendre le modus operandi de certains leaders de ce monde. J'y reviendrai.

Mercredi 22 juillet, je passe une agréable soirée avec un ami qui me demande conseil dans mon champ d'expertise, les placements boursiers. Nous convenons assez facilement que l'état des marchés boursiers mondiaux qui est en lien avec les marchés financiers mondiaux est très instable et qu'il serait périlleux de s'y hasarder sans une certaine prudence.

Quand on constate que le marché boursier américain est contrôlé par la performance de 5 titres, on peut se dire que les dés sont pipés d'avance. Le GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft) décide si le marché sera en hausse ou en baisse un tel jour, c'est du non-sens. Être à la remorque de ces monstres financiers est un risque considérable, pour les petits joueurs que nous sommes.

Jeudi 23 juillet, je regarde l'info en questions, la revue hebdomadaire de quelques lanceurs d'alertes (Ema Krusi, Salim Laïbi, Dr Tal Schaller, Jean-Jacques Crèvecœur et Dre Violaine Guérin). Cette 7e édition a été, selon moi, une des meilleures émissions qu'ils ont faites. Les sujets et la qualité du traitement de ces informations, c'est de la bombe.

Parmi ces sujets, j'ai accroché sur deux:
1-Les scandales des compagnies pharmaceutiques et les procès qu'elles ont toutes perdus.
2-Les huit critères de la coercition identifiés par Amnesty International en 1975. C'est choquant d'en faire le rapprochement avec ce que nous vivons actuellement et d'y déceler les similitudes en tout point, c'est troublant.

J'ai pris le temps de regarder la vidéo d'Amazing Polly qui donne en détail les rapprochements de la crise du covid-19 et des mécanismes de la torture, c'est stupéfiant et renversant.

Vendredi 24 juillet, je tombe sur la vidéo de Pierre Rousseau qui dit avec des mots assez crus de se réveiller et de ne pas toucher à ses petits enfants, ce qui démontre à quel point, il est inquiet pour eux. Cela me rejoint beaucoup, car ça fait des mois que je n'ai pas vu mes petits-enfants et ils me manquent énormément.

Avec tout cela, cette semaine, je sens la colère qui monte en moi. Je vois les commentaires de plus en plus virulents sur Facebook entre des gens qui auparavant se parlaient respectueusement, la dégradation est un signe de tension évidente.

Je suis contre le port du masque et je suis contre la vaccination au complet, cela demeure une évidence pour moi. Malgré cela, je me demande comment le fait de participer au chialage collectif entre tous ceux qui sont contre nous aidera à autre chose que d'être encore plus déprimé ou encore plus en colère. De faire monter notre agressivité, notre cortisol et de diminuer notre système immunitaire, dont les gens conscients semblent avoir oublié son existence, tellement ils sont dans la lutte tête baissée, est-ce la meilleure solution?

Devant ce constat, je vais me retirer des groupes qui sont contre ceci ou contre cela et je vais simplement exprimer haut et fort ce en quoi je crois sans animosité, ou à tout le moins avec le minimum requis.

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