mardi 21 juillet 2020

Où allons-nous?

Je suis en train d'écouter la purification des chakras de Doreen Virtue, une méditation du matin et monte en moi le besoin de mettre par écrit ce qui émerge.

Hier, j'écoutais plusieurs vidéos de plusieurs gens sur leurs points de vue de la situation actuelle, et l'énergie qui s'en dégageait ne me satisfaisait pas du tout.

J'observais également le niveau de violence dans les propos des gens sur Facebook qui s'insultaient plus qu'ils n'échangeaient, c'était très palpable que l'harmonie avait fui les lieux.

Est-ce cela que je veux vivre? Faire la gestion coercitive des messages mis sur ma page qui ne sont que jugements, que préjugés, que prêts d'intentions, que généralisations, qu'exagérations, qu'imprécisions; cela ne m'intéresse pas.

Ceux et celles qui me lisent depuis un certain temps savent que je suis soucieux de partager des informations crédibles ou à tout le moins qui font sens avec la rigueur de dire ce qui est. Je ne partage qu'environ un tiers des informations que je consulte, car les deux autres tiers ne m'apparaissent pas suffisamment crédibles ou intéressants pour l'être.

Malgré cela, je me fais ramasser par des Ti-Jos-connaissants, des guerriers du clavier pour qui le courage se retrouve derrière l'anonymat de leurs propos de bas étage.

J'accepte que mes propos ne plaisent pas à tout le monde et je vis très bien cela, cependant je me demande toujours comment ce comportement de lâcheté manifeste fera avancer le débat vers une solution commune bénéfique pour le plus grand nombre.

Deux personnes que j'estime ont exprimé en des mots différents le même message.

Celui de cesser de tenter de convaincre sur ce que je perçois comme la réalité et que les médias dominants nous cachent sciemment.

Celui de laisser les croyants du message officiel des gouvernements aller droit dans le mur parce que c'est ce qu'ils veulent et qu'ils se réveilleront peut-être ou pas et que cela ne nous appartient pas.

Ma nature combative et aimante est en porte-à-faux avec cette approche. De toutes mes luttes passées, dans mes combats pour la justice d'une cause ou l'autre, je me suis toujours dit qu'une personne de plus de convaincue, c'était une personne de moins contre l'idée que je défendais.

La donne différente actuellement est la manipulation de masse par le gouvernement qui joue dans la tête des gens avec la peur. Cette sidération nourrie par des organes de propagande bien soumis que sont les médias dominants est un facteur qui envenimera la situation et dans un avenir assez rapproché.

En 2012, le printemps érable, la crise étudiante est allée jusqu'au bout en faisant chuter le gouvernement de John James Charest. Nous avons passé un été confrontant et la résistance a gagné, mais à quel prix.

Devons-nous prendre la rue avec des manifestations qui iront inévitablement dans la confrontation? Y a-t-il une autre solution? Le gouvernement sous-estime la docilité et la patience du peuple, son message de docilité et d'obéissance ne passe plus, même avec les appels de la vice-première ministre, cela ne fait que radicaliser ceux et celles qui disent haut et fort que c'est assez.

Est-ce un passage obligé? Il semble que c'est ce que le gouvernement provoque. Le peuple ne descend pas dans la rue quand le gouvernement le sert bien et qu'il est à son écoute. Or ici, le gouvernement ne nous écoute pas, ne légifère pas et dirige par des décrets qui sont loin de servir les intérêts de la population.

Le port du masque est un faux débat et pendant qu'on s'entredéchire sur cela, les choses encore plus liberticides s'en viennent et la plupart en sont aveugles.

Le discours durcit sur des raisons de porter le masque ou non. On oppose les droits de certains aux libertés des autres, ce qui est une erreur de syllogisme. Nous avons tous les mêmes droits et les mêmes libertés.

Plusieurs confondent le droit à la santé qui est individuel et le droit d'association qui lui est collectif. Je n'ai aucune obligation à prendre soin de la santé de l'autre. J'ai cependant le devoir de ne pas nuire à la santé de l'autre.

La meilleure façon de ne pas nuire à la santé de l'autre est de me garder dans la meilleure santé qui existe, car si je me rends malade en portant un masque qui va m'intoxiquer, comment cela va-t-il t'aider dans le maintien de ta propre santé?

La plupart des gens ignorent la notion de stérilité du masque. Tout comme ils méconnaissent le fonctionnement de leur système respiratoire et pour leur système immunitaire, n'en parlons pas.

Les médias sont gravement complices de maintenir les gens dans l'ignorance de leur santé et comment y veiller. Les médias nous empoisonnent avec des données sur la mort et la maladie, sur tout ce qui est néfaste pour nous manipuler.

Au-delà de refuser de porter le masque parce qu'il n'est qu'un signe d'obéissance, de docilité et de soumission, je refuse de porter un masque pour une raison majeure, celle de prendre soin de ma santé. Ainsi, je ne contribuerai pas à vous contaminer et à vous rendre malade. Voilà ce que vous devriez entendre quand je dis que je ne consens pas au port du masque.

C'est mon droit de prendre soin de ma santé.
C'est mon droit de ne pas m'intoxiquer avec un masque.
C'est mon droit de respirer librement.
C'est mon droit de vivre librement comme j'ai été créé.
C'est mon droit de ne pas suivre un décret qui n'est pas bon pour ma santé.
C'est mon droit de refuser de me soumettre à un acte préjudiciable à ma santé.

Ce sont aussi vos droits, vous pouvez les exercer.

Comme vous voyez, il ne s'agit pas d'un plaidoyer pour la liberté qui pourrait tout aussi bien être développé ici, mais de mon droit à la santé.

Devant ce constat, je demande au gouvernement de reculer et de cesser de nous manipuler. Votre légitimité cesse quand le peuple descend dans la rue et vous dit: c'est assez!

Aucun commentaire: